La vie chère à Kisangani

Interpellé sur la vie chère et le faible pouvoir d’ achat de la population, le président de la République a, en des termes clairs, expliqué que la production locale n’est pas en mesure de satisfaire les besoins de l’ensemble de la population. Cela implique d’importantes importation des produits alimentaires en monnaie étrangère.

Les solutions sont là et l’applicabilité n’ est qu’une question d’exécution. En effet, la facture annuelle des importations des produits alimentaires a explosé. Elle se chiffre actuellement à 3,5 milliards de dollars américains.

Ce qui suppose une forte pression sur les réserves de change. Mais le Chef de l’État est également celui qui prône la revanche du sol sur le sous-sol. En plus de cultiver et récolter, il faut évacuer les produits agricoles, d’élevage et de pêche vers les grands centres de consommation comme Kisangani.

L’aéroport international, les infrastructures en construction et le bon sens sont déjà des réponses pour concrétiser le vœu des boyomais d’accéder dans l’avenir aux biens de première nécessité à des prix abordables.

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